LES ECHOS DE LA CÔTE D'AMOUR

  Nous avons vu que, s'il n'y a pas vraiment de pénurie de candidats pour les municipales dans les grandes villes et les villes de taille moyenne, il arrive parfois que les maires jettent l'éponge dans les petites communes (moins de 500 habitants). Il faut dire que le budget des toutes petites communes est réduit, que le maire ne gagne pas beaucoup (indemnités faibles en tant que maire) et doit souvent exercer un travail en plus de sa fonction.   Donc, jongler avec un petit budget n'est pas aisé, surtout quand des collaborateurs commettent des indélicatesses ou font des grosses boulettes :     Dans ce cas, on comprend aisément que le maire ressente une grosse fatigue et ait envie de faire autre chose. N'importe quoi mais autre chose...      A suivre...              

  Au début, il n'y avait rien ! Comme pour la création du monde, avant la création ex nihilo du quartier Benoît de La Baule, il n'y avait rien.       Juste des dunes et des bôles a` perte de vue. Puis La Baule naquit.    Non pas grâce a` des Baulois ni a` des Escoublacois mais grâce a` des Parisiens qui avait pressenti le potentiel touristique énorme de cette partie de la Baie du Pouliguen.      Quant au futur quartier Benoît, il dépendait administrativement de la commune du Pouliguen et son rattachement a` La Baule se fit lorsque l'urbanisation du quartier se développa fortement. Car il était hors de question que ce qui allait devenir le quartier le plus "chic" et le plus prisé de La Baule soit rattaché a` une bourgade de pêcheurs de sardines (Le Pouliguen).   Ne restait plus qu'a` délimiter ce nouveau quartier dans l'espace. Ce qui fut aisé : l'Hôtel L'Hermitage marquait le début du quartier Benoît...   et l'étier du Pouligue...

  Les discours martiaux sont de mise en ce moment. Pas seulement en France mais un peu partout en Europe : "Il faut se préparer a` la guerre. La guerre avec la Russie est inévitable." Et il faut se préparer a` "perdre nos enfants". Mais, parmi ceux qui soutiennent ce discours, combien sont prêts a` envoyer leurs propres enfants se battre sur le front en Ukraine ? Et est-il crédible que des personnes n'ayant pas d'enfants soutiennent aussi ce discours ?                Mais tout le monde n'adhère pas a` tous ces discours martiaux dont certains manquent quelque peu de crédibilité.          Mais celles et ceux qui ne sont pas actuellement des "va-t-en guerre" commencent a` se faire plus ou moins invectiver : ils auraient un "esprit de capitulation." Mais de quelle capitulation parle-t-on alors que nous n'avons encore déclaré la guerre a` personne et qu'il n'y a aucune guerre en cours impliquant la France ?   Heureuse...

  L'un des grands sujets de discussion (et de polémique) concerne le port de La Baule (en plus de la polémique sur les appellations "baie de La Baule-baie du Pouliguen"). Car, pour un nombre conséquent de personnes, il n'existerait pas de port a` La Baule. Et dans l'étier du Pouliguen, on trouverait juste le port du Pouliguen. Eh bien non ! La Baule a bien son port. Et depuis longtemps...      En fait, c'est plutôt simple : - côté ville du Pouliguen, c'est le port du Pouliguen. - côté ville de La Baule (quartier Benoît et quai Rageot de la Touche), c'est le port de La Baule.      Avant la création de la ville de La Baule, il n'y avait évidemment qu'un seul port dans l'étier : celui du Pouliguen. Un port de pêche réputé pour ses sardines (comme de nos jours La Turballe). Puis La Baule se développa et la navigation de plaisance aussi.      Alors, on vit de plus en plus de bateaux de plaisance amarrés côté La Baule (et pas des bateaux de pê...

  Normalement, le taux de participation aux élections municipales est tout a` fait correct.   Mais comment motiver les électeurs indécis et les abstentionnistes ?  En leur donnant des cours d'éducation civique ? En faisant des campagnes de communication ?   Il semblerait que certains aient trouvé des arguments plus convaincants :     Aller voter ou risquer de mourir prématurément ? Il va de soi que la réponse est évidente : il faut aller voter pour préserver sa santé.       A suivre...