LES ECHOS DE LA CÔTE D'AMOUR

  Passer Noël seul.e n'est pas trop réjouissant (sauf si on est misanthrope). Mais il existe suffisamment d'hôtels et de résidences de vacances a` La Baule pour pouvoir passer Noël dans un endroit agréable et convivial ou` l'on pourra faire de nouvelles connaissances et nouer de nouvelles relations (et plus si affinités). Au pire, on pourra toujours passer son temps au bar et nouer une relation forte avec le barman (ou avec le bagagiste si on préfère hanter les couloirs de l'hôtel).                   A suivre...       Photos fournies gracieusement par la Comtesse de Spritz.               

  Autre mythe bien répandu : la majorité des fraudes a` la Sécurité Sociale proviendrait des assurés. Il serait donc normal et logique de plus contrôler les assurés sociaux. Sauf que 80 % des fraudes proviennent des professionnels de santé et/ou de réseaux d'escrocs en bandes organisées qui pillent la Sécu.   C'est la Cour des Comptes qui le dit :     Donc, il semblerait logique et rentable que l'on cible les contrôles plutôt sur les professionnels de santé que sur les particuliers. Or, la Sécurité Sociale fait l'inverse. Pourquoi ? Dans quel but ?   Pourquoi un tel manque de contrôles concernant les professionnels comme le regrette d'ailleurs la Cour des Comptes ?       Parce que, du côté des fraudes concernant les professionnels de santé, c'est la fête tous les jours !                          A suivre...           par Anastasia Izvasi...  et ECA....

  Pour justifier de nombreuses ponctions et restrictions concernant les assurés sociaux, on brandit constamment le fameux déficit de la Sécurité Sociale. Déficit qui justifierait la mise en place de mesures drastiques pour le faire diminuer.   Le chiffre du déficit en valeur absolue peut faire un peu peur : 23 milliards d'euros. Mais, en pourcentage du budget total de la Sécurité Sociale...    ce chiffre n'est pas franchement affolant : 3,5 % de son budget.   A comparer avec la France qui est endettée a` plus de 117 % (comparé a` son PIB).    Concernant la Sécurité Sociale, le discours ambiant ne parle que de vouloir contenir et freiner les dépenses. Alors que la majeure partie du déficit de la Sécu provient d'un manque de recettes (d'ailleurs, si la Sécu récupérait toutes les recettes qu'elle devrait récupérer, il n'y aurait plus de déficit !)            A suivre...         par Anastasia Izvasi... et E...