LA BAULE : HISTOIRES D'AMOUR ET DE RUPTURES ENTRE LOCATAIRES ET PROPRIÉTAIRES (PART 14)

C'est une histoire qui ne surprendra pas les Baulois les plus avertis mais qui risque de surprendre bien des lecteurs.

Mais c'est aussi une excellente nouvelle : quoique puissent penser certaines personnes (et notamment les plus jeunes), la sexualité ne connaît pas de limite d'âge (tout comme le droit de conduire sur la route en France).

Une sémillante et mignonne septuagénaire proche de l'octogénaire nous en fait la démonstration.

Celle-ci, propriétaire d'un appartement qu'elle souhaitait mettre en location, était en pleine négociation avec un futur locataire d'une cinquante d'années mais la signature butait sur un dernier point litigieux : elle exigeait un loyer nettement au-dessus des prix du marché.

A son grand regret, le locataire allait décliner l'offre de location quand, soudain, la propriétaire lui dit : "Je veux bien baisser le prix du loyer si vous me prouvez que je suis trop chère."

Le futur locataire potentiel récolta alors diverses offres de location pour un bien équivalent et revint vers la propriétaire qui lui dit : "D'accord pour m'aligner et baisser le prix du loyer hors charges de 40 euros par mois mais, dans ce cas, je poserai une condition que vous êtes libre d'accepter ou pas.

- Quelle condition ?

- Chaque mois, lorsque vous viendrez me payer le loyer, vous accepterez que je vous fasse une petite gâterie.

- Je ne comprends pas.

- Venez par ici et je vais vous expliquer."

Photo illustrative issue d'une banque de données d'images libres de droits.

La presque octogénaire propriétaire prit son locataire par la main, l'entraîna dans sa chambre, s'assoit sur le lit, lui déboutonne son pantalon et entreprend de lui faire une fellation.

Le locataire, tout d'abord surpris et estomaqué, ne réagit pas. Puis, devant la dextérité incontestable de sa propriétaire, il se laisse faire. Et doit bien reconnaître que l'expérience est très agréable voire mémorable.

Le contrat de location est signé dans les minutes qui suivent.

Peu de temps après, nous rencontrons le nouveau locataire (qui est un ami) qui nous raconte toute l'histoire.

Au début, nous tiquons un peu :

"Dis donc, tu crois vraiment me faire gober ton histoire ?

- Je te jure que c'est vrai !

- Remarque, connaissant personnellement quelques voisines septuagénaires plutôt entreprenantes, je ne suis pas trop surpris. Mais que cela t'arrive a` toi !

- C'est certain que je ne m'attendais pas a` cela en signant un bail de location.

- Et tu as droit a` ta petite gâterie chaque mois lorsque tu apportes ton loyer.

- Oui. Et même plusieurs fois par mois.

- Comment cela ?

- Eh bien, ma propriétaire m'a spontanément proposé d'augmenter la fréquence des "gâteries". Et comme ma femme n'aime pas trop faire des gâteries et que ma propriétaire est une experte en la matière, je vais plusieurs fois par mois prendre un petit café avec ma propriétaire qui, a` chaque fois, me gâte.

- Et tu ne crains pas que ta femme se doute de quelque chose ?

- Pourquoi voudrais-tu qu'elle se méfie d'une propriétaire bientôt octogénaire ?

- Effectivement.

- Et puis, tu connais le dicton : "Sucer n'est pas tromper".

- Ah oui, c'est vrai, je l'avais oublié celui-la`."