FETE MÉDIÉVALE A ESCOUBLAC-SKOULAG POUR LES JOURNÉES DU PATRIMOINE DU 21 ET 22 SEPTEMBRE 2024 (PART 3)

Bien que la délinquance y soit nettement moins importante que chez sa voisine Ar Baol, la ville d'Escoublac-Skoulag envisagerait de prendre quelques précautions pour assurer la tranquillité de sa Fête Médiévale (selon des informations provenant de sources aussi sûres et non fiables que celles des médias qui affirment qu'il est normal de nommer un Premier Ministre issu d'un parti ayant perdu les élections législatives).

 

 

Prenant exemple sur la ville de Paris qui a éloigné les SDF et autres indésirables dans des communes lointaines pendant les Jeux Olympiques, Escoublac-Skoulag envisagerait un recensement...

 

des gueux et autres pouilleux qui pourraient perturber le bon déroulement des festivités de par leur présence gênante d'un point de vue esthétique.

Il va de soi que les smicards ne sont pas les bienvenus non plus.

 

 

Mais comme Escoublac-Skoulag, ce n'est plus le goulag malgré son nom, des dispensaires médiévaux seront ouverts pendant les festivités pour les habitants a` qui il manque des dents (vu la baisse du remboursement des frais dentaires. Baisse des remboursements qui vont permettre, par exemple, d'augmenter le prix de la consultation chez le médecin généraliste en décembre 2024 et de la faire passer directement a` 30 euros malgré un déficit en augmentation de l'Assurance-Maladie).

 

 Donc, les rues d'Escoublac-Skoulag seront sûres de jour comme de nuit.

 Car la Fête Médiévale se terminera chaque soir tard dans la nuit. En plus des chevaux, la ville voisine d'Ar Baol fournira aussi les stocks de rosé indispensables ainsi que la tradition médiévale de l'apéro baulois qui dure de 12 h 30 jusqu'a` minuit.

A suivre...

 

 

PS : au cas ou` certaines de nos informations seraient inexactes, nous invoquerons pour notre défense toutes les inexactitudes et approximations que l'on peut trouver dans certains médias locaux, inexactitudes qui ne provoquent aucune réaction. Ce qui ferait considérer, de facto, toute réaction négative a` nos articles comme une pratique discriminatoire.